Avec sa Switch, Nintendo a redoublé d'efforts. La société nippone a fait le maximum pour attirer, en plus des joueurs, des développeurs et éditeurs du monde entier et ce depuis un moment. Son architecture est-elle si plaisante ? Voici la réponse d'un des papas de The Binding of Isaac.
Les éloges continuent de pleuvoir pour la Nintendo Switch. De Hideo Kojima à Toshihiro Nagoshi (Yakuza), on ne compte plus les développeurs qui en vantent les promesses et les compétences intrinsèques. Mais côté développement, se montre-t-elle aussi docile qu'escompté ?
C'est Tyrone Rodriguez, patron de Nicalis, éditeur qui avait posté des aperçus de l'interface de la Switch et qui se prépare à y amener The Binding of Isaac : Afterbirth +, qui a répondu à Polygon concernant la facilité de programmation sur Nintendo Switch.
La Switch est de la loin la plus simple d'accès et la plus agréable pour les programmeurs jusqu'ici. Je sais que ça sonne comme quelqu'un qui fait son possible pour être bien vu par Nintendo mais ce n'est pas le cas. Si ce n'était pas vrai, nous n'aurions pas été capables de proposer ces jeux aussi vite que l'avons fait. Et nous n'aurions pas pu avoir de jeux au lancement. Nous sommes à des années lumières de ce que nous faisions avec la Wii U.
Ce qui a l'air d'être le strict minimum, vu comment la très mourante console au GamePad n'a pas convaincu... mais bon signe pour les développeurs, y compris les indés.
The Binding of Isaac : Afterbirth + sera disponible sur Nintendo Switch au lancement de celle-ci, le 3 mars prochain.